SVP , c'est une nouvelle (Le Gueux - Guy de maupassant ) Quand il eut fini la visite de toutes les maisons qu'il connaissait, il alla s'abattre au coin d'un fo
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oudnani2p186au
Question
SVP , c'est une nouvelle (Le Gueux - Guy de maupassant )
Quand il eut fini la visite de toutes les maisons qu'il connaissait, il alla s'abattre au coin d'un fossé, le long de la cour de maître Chiquer. Il se décrocha, comme on disait pour exprimer comment il se laissait tomber entre ses hautes béquilles en les faisant glisser sous ses bras. Et il resta longtemps immobile, torturé par la faim, mais trop brute pour bien pénétrer son insondable misère.
Il attendait on ne sait quoi, de cette vague attente qui demeure constamment en nous. Il attendait au coin de cette cour, sous le vent glacé, l'aide mystérieuse qu'on espère toujours du ciel ou des hommes, sans se demander comment, ni pourquoi, ni par qui elle lui pourrait arriver. Une bande de poules noires passait, cherchant sa vie dans la terre qui nourrit tous les êtres. A tout instant, elles piquaient d'un coup de bec un grain ou un insecte invisible, puis continuaient leur recherche lente et sûre.
Cloche les regardait sans penser à rien; puis il lui vint, plutôt au ventre que dans la tête, la sensation plutôt que l'idée qu'une de ces bêtes-là serait bonne à manger grillée sur un feu de bois mort.
Le soupçon qu'il allait commettre un vol ne l'effleura pas. Il prit une pierre à portée de sa main, et, comme il était adroit, il tua net, en la lançant, la volaille la plus proche de lui. L'animal tomba sur le côté en remuant les ailes. Les autres s'enfuirent, balancés sur leurs pattes minces, et Cloche, escaladant de nouveau ses béquilles, se mit en marche pour aller ramasser sa chasse, avec des mouvements pareils à ceux des poules.
Faire une suite a cette situation avec chute
Quand il eut fini la visite de toutes les maisons qu'il connaissait, il alla s'abattre au coin d'un fossé, le long de la cour de maître Chiquer. Il se décrocha, comme on disait pour exprimer comment il se laissait tomber entre ses hautes béquilles en les faisant glisser sous ses bras. Et il resta longtemps immobile, torturé par la faim, mais trop brute pour bien pénétrer son insondable misère.
Il attendait on ne sait quoi, de cette vague attente qui demeure constamment en nous. Il attendait au coin de cette cour, sous le vent glacé, l'aide mystérieuse qu'on espère toujours du ciel ou des hommes, sans se demander comment, ni pourquoi, ni par qui elle lui pourrait arriver. Une bande de poules noires passait, cherchant sa vie dans la terre qui nourrit tous les êtres. A tout instant, elles piquaient d'un coup de bec un grain ou un insecte invisible, puis continuaient leur recherche lente et sûre.
Cloche les regardait sans penser à rien; puis il lui vint, plutôt au ventre que dans la tête, la sensation plutôt que l'idée qu'une de ces bêtes-là serait bonne à manger grillée sur un feu de bois mort.
Le soupçon qu'il allait commettre un vol ne l'effleura pas. Il prit une pierre à portée de sa main, et, comme il était adroit, il tua net, en la lançant, la volaille la plus proche de lui. L'animal tomba sur le côté en remuant les ailes. Les autres s'enfuirent, balancés sur leurs pattes minces, et Cloche, escaladant de nouveau ses béquilles, se mit en marche pour aller ramasser sa chasse, avec des mouvements pareils à ceux des poules.
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1 Réponse
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1. Réponse Anonyme
Une fois qu'il se situé près de sa chasse, il ne laisser paraître aucune émotions il la regarda simplement un peu surpris même traumatisé, il ne faisait que de ressasser ce moment dans sa tête, le moment ou il a pris une pierre et la jeté dans le bonne endroit au bon moment, sans sourcille aucune fois.
Toujours en regardant la volaille qui agonisait lentement et qui était il n'y a même pas deux seconde toute excitait avec les autres volailles qui ont disparus sans avoir la moindre pitié pour cette volaille, il laissa couler une larme, puis une deuxième, puis une troisième, et voilà qu'il se trouvait en sanglot.. Il comprend et voit la réalité des choses de ce monde, on tue les autres pour pouvoir vivre, survire, pour sans sortir sans la misère, d'autre vont ressentir un énorme régrès qui ne partira probablement jamais, pour Cloche sa allait devenir son cas et d'autre ne regrette et ne regretterons absolument pas.. Il se dit que pour survivre nous les humains pour survivre de la famine on est près à tuer, à perdre son humanité...